Textes, nouvelles, poemes...

Salut les poètes !!!!!

Mon doudou à moi m'a lachée, je continue à occuper ma nuit en me baladant de forum en forum et... Wouah y'a pas mal de textes sympas!!!

Moi je suis pas une artiste, j'écris juste ce qui me passe par la tête, j'ai jamais fait partager mes délires, alors voilà en parcourant les premières pages j'ai cru comprendre que beaucoup avaient le sens critique, ce texte-ci est en mémoire à une amie, je voudrais arriver à en faire qqchose de lisable... (bon ok c'est glauque mais j'en ai vu des pires sur le site )

Cette nuit

Je suis là, blottie dans le fond et le froid de mon lit, cachée sous ma couette, je m’enterre, je cherche à me fondre dans le noir, je voudrais tellement disparaître à tout jamais dans cette obscurité, je m’y efforce de toutes mes forces …

Mes forces… Quelles forces ? Celles de l’âme, du cœur, de ce corps qui ne m’appartient plus… Je veux le fuir, l’arracher, déchirer cette putain de peau souillée, vite, vite que la nuit m’emporte, faire sortir cette rage et cette douleur que je n’ai pas réclamés ; mais pourquoi m’as-tu marquée ?

Ce soir-là j’ai voulu faire le bien, tendre la main à mon prochain, oublier les expériences passées, quelle naïve j’ai été…
Tu étais là devant moi puis plus près de moi, j’ai entrevu l’humanité la normalité, pourquoi toi n’as-tu pas vu la vérité ?
Mais il était déjà trop tard, l’homme dans sa bestialité, qu’ai-je fait pour mériter d’exister ?
Je n’étais déjà plus rien avant que tu ne me portes le coup final, te rends-tu comptes à quel point ça fait si mal ?
Puis tu es parti et je me suis blottie…

Non, je n’ai pas eu de bleus, je n’ai pas saigné… Ce n’est que mon cœur qui s’est vidé de son sang, ma dignité que tu as volée, toi tu t’amusais hein et moi je subissais…
Peut-on être aveugle à ce point, étais-tu seulement conscient de ce que tu faisais ?
Pourquoi moi, je ne t’ai rien demandé, je t’ai cent fois repoussé, tu avais d’autres filles à tes pieds, pourquoi m’as-tu tuée ?

La nuit a passé, le jour s’est levé, une autre journée achevée, une nouvelle semaine passée, les mois ont défilé, j’ai oublié puis me suis rappelée, que je t’ai laissé me tuer…

yop Noctan, bienvenue a toi!
de ton texte, je nai aimé que la derniere phrase ..(désolé) toute la partie précédente est presque clichée ou générale; on a l'impression que tu decris des sentiments que tu ne vis pas hors le texte veut montrer la violence de sentiments vécus, cest comme si cetait des mots qui t'avait paru beaux et donc tu les a enchainné les uns derriere les autres, mais on reste dans le vague.. il y a une bonne intension dans la construction du texte mais ça sonne presque faux... dis moi ske t'en pense tu me convaincra ptetre et fais dautres essais!

a là elle risque pas de repondre !!!

j'ai pondu ça smatin..

Le rouge se mua en noir dans son regard, quand les sons émanants de leurs bouches n'eurent plus le moindre sens.


Il s'accrochait à la compréhension instinctive des Êtres alors qu'il volait parmis les Hommes, l'estomac noué. Et son estomac se serrait de de plus belle chaque fois qu'il intervenait. Il ne pouvait plus éviter la quéstion. Seulement c'est pendant une intervention qu'elle s'imposa. Cela fit monter le haut le coeur, il hoquetait de douleur; hors celle-ci rend sa présence sensible aux autres et se diffuse dans leurs veines. Une Autre, plus forte que les autres présents, résista a la douleur; elle sortit un revolver imposant et tira sur l'ange.

Il volait le plus loin possible, s'enfonçant dans la pénombre de son esprit pour fuir la douleur. Quand il s'efondra il savait qu'il serait desormais seul.

"Un autre lui a tiré dessus.."


"Le mal est plus profond que l'impacte d'une balle.."



"il devra s'en sortir seul?"

Dans son sommeil il revit la femme, puis l'oublia. Il pensa à la chanson de Gainsbourg "Quand t'auras douze belles dans la peau, q'uest ce que t'auras de plus sinon un peu de plomb dans l'aile.." ça le fit rire, il sombra.

Il ouvrit les yeux, se leva, s'envola, se posa.
Son corps répondait mal. En fond sonore de ses pensée, comme un risque de s'y perdre, se répétait "Quoi" sur toutes les intonations imaginables. Il ne parvenait pas à se concentrer, il ne pouvait supporter la perte de contrôle de son corps et qui plus est de ses pensées. Il paniqua, et frénétiquement chercha de l'aide.
Tous des murs d'incompréhension, angoissants. Il répétait les mêmes quéstions et quand les réponses venaient les Quois de son cerveau s'accentuaient, l'empêchant d'entendre; alors il les répétait, fesant signe que c'est ça tête qui les dictait, enrageant. Les quois s'enchaînnaient, jusqu'à devenir un son informe sans trace de question ni de réponse.
Il senvola. recroquevillé. Le rouge se mua en noir dans son regard. Le silence se fit.
Il alla se blottir dans un arbre.
De temps à autre il hurlait un quoi; comme pour raviver un souvenir; parfois d'autres croassements lui répondaient.


j'ecrirai bien la suite, et plus tard lhsitoire de la femme, mais jai peur que ce soit degoulinant ou que ça devienne cliché.. voilà jattend vos avis

Ca fait aujourd’hui trois semaines qu’il est allogé là. Il ne reste plus que les yeux a immortaliser. Ils ont gardés leurs froide dureté du debut. Magnifiques. C’est comme ça qu’il est le plus beau, dépourvu de touts apparats. Dommage que le contenu de son sac à main ai été si decevant. Trois trousses Nimco, un crayon Eye Bright de chez Benefit a 18.50 rose claire(contient du Petrolatum, une sorte de paraffine, ça dessèche la peau) , un anticernes Oscar&Dean de chez Colette, un masque relaxant de Landcaster, deux Prozac (je savais que son air enjoué cachais quelque chose), un minidentifrice Marvis à 080€ (contient du Propylparaben, et j’y suis allergique), un anti-plis Agnes B., un correcteur de chez Benefit, un égonflant Corsmence, une huile relaxante Shiatsu (le plus ininterressant de son sac, sois disant érotique, comme si baiser avec un corps gras et mou était exitant), un Liftant de chez Kama à 32,50€ (le pauvre était tellement obsédé par ces produits de beauté qu’il sen tartinait souvent a tord. Je suis heureuse de l’avoir délivrer, en lui donnant une pleine beauté), un masque de B.Kamins à 61.40€ (l’élément le plus cher de son pannel, ça reste du bas de gamme, bien que la marque fasse des efforts pour s’adresser a une classe jeune et riche), une cème defripante (sans interêt), un traitant : contour des yeux d’Epivie de Mességué, une base pour paupières Lemon Aid de chez Benefit, des pastilles a l’orange ( pas mauvaises), un masque fraîcheur au mellon de Wooz Cosmetic, un soin tonifiant d’Elesis a 55€ (personnellement je n’aime pas l’odeur) et un vivifiant de chez Payot à 39,14€.
Très beau. Et a moi pour toujours. C’est toi qui est resté le plus longtemps dans mon lit, mais malgrès la clim l’odeur commence a devenir gênante. De toute façon tes raideurs cadavériques ne me satisfesaient plus. Je te ferais quand même honneur en t’habillant de ma robe rouge a pois blancs ce soir quand je te présenterais aux autres. Mais de rien, c’est avec plaisir . Dommage que tu ai été gay, on aurait pu faire un beau couple. Oui, tu m’en as donné beaucoup, beau diable.

peu etre une histoire a developper

J'aime bien !... T'as capté le principe de la chute qui tue !


Continue continue !

Le seul truc un peu lourd à force c'est les parenthèses, essaie de trouver d'autres trucs pour alléger la lecture.

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"Les bons comptes font les bons amis".

il est super , cest des gens ke ta entendu?

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franchement bien vu ce ptit texte, et agréable à lire en plus ! ça sent l'vécu...

Il savait ce qu'il avait à faire, de toute façon celà faisait bien quelques heures qu'il était déjà sur les lieux..
Il ne pouvait pas faire marche arrière, celà lui était impossible mentalement,il ne savait même pas où il était, et à vrai dire, il s'en moquait totalement..
Autours de lui ce n'était que des formes indistinctes, l'obscurité cachait toutes tentatives de description..
Ca sentait l'air frais, l'herbe humide.
Et c'est tout ce qu'il lui importait sur le moment...

Lorsqu'il pris la substance qui était dans la paume de sa main, il repensa incertain au parcours qui l'avait mené jusqu'ici, à cet endroit, autours de ces fantomes, devant cette pilule.
Il ferma les yeux, se rapprocha doucement de la musique et des vibrations qui lui traversait à la fois les tympans mais aussi sa poitrine.
Son ambition était maintenant dévoilée, ce qu'il recherchait c'était ça, c'était de ne plus etre spectateur, il voulait etre acteur de cette mise en scéne blafarde,quotidienne, il voulait la façonnée à sa façon le temps d'un soir..
Les risques il les connaissaient, et c'est avec un sourire affiché sur son visage qu'il se disait que de toute façon il les assumaient..
Oh et puis, qu'est-ce qu'il avait à perdre ? Il ne possedait rien, matérielement parlant,
c'était pour lui sa manière d'être libre, et peu importe ce qu'on lui reprocherait, il assumait..

Le son devenait de plus en plus rapide, son corps pernait chaque infra-basse comme un ordre de mouvement, tout semblait si destructuré, et pourtant au fil de la répétition, les mouvement prenait une certaine grace dans l'espace..
Sa colonne vertébrale commençait à se raidir, il sentait que l'effet était proche, il ressentait ses muscles se durcir, sa vision se transformait, et petit à petit laissa place à un monde nouveau, différent , illusoire..
Les rares lumières lui révélaient un monde remplis de couleurs, ou tout était géré par des sortes de dessins tribal, en spirale, tout avait un sens à ce moment, tout s'entrechoquait et se liait à la fois, comme lorsque quelqu'un sors d'un coma et comprend enfin le système du calendrier...
Chaque mouvement était controlé par une force, une force parfois acceuillante, chaleureuse, douce , parfois repoussante, effrayante...
Mais celà aussi il l'assumait..

Tout à coup une main se posa sur son épaule.
-"Tu cherches que'qu'chose ?"
A la vue de cet homme, petit, avec son air narquois et antipathique, il était quasi sur de trouver ce qu'il ne cherchait pas, mais bon, dans ces moments là, son controle avait totalement disparu..
-"Ca s'pourrait bien..t'as quoi ?"
Là la petite fouine sorti de sa veste un pochon de deux grammes de cocaine, un autre remplis d'herbe,quelques pochons de ce qui s'aparentait à du speed et enfin des dizaines de gélatines de LSD,il fouilla dans sa poche et sorti un billet et pris quelques grammes de fortifiant, un peu de rêves et beaucoup d'herbes, car si il savait que la montée allait être haute, il en était de même pour la descente..
Il pris directement une trace de cocaine, histoire de mettre ses idées au clair, sachant que son psychotrope était méchamment en train de faire effet.
La fouine disparue aussi vite qu'elle était apparue, autours de lui personne ne prêtait attention à ce qu'il se passait, aprés tout qu'avaient-ils à lui dire ?
La musique devenait visuel, elle était de toutes sortes de couleur, verte, rose, rouge, bleu, il avait l'impression de nager dans un océan de couleur..
Son rictus devenait douloureux, depuis combien de temps souriait- il bordel ? Une minute, une heure peut-être ?
Tout d'un coup tout s'accélerra, signe que les choses allaient dans le bon sens , ses idées, mais aussi les spectres qui l'entouraient allaient de plus en plus vite, celà lui provoqua un fou rire incontrolable, il leva la tête et apperçut ce qui devait etre une forme démoniaque de ce qui reignait ici avant lui, il n'était plus dans le monde qu'il connaissait, il était entré dans l'autre monde, ou plutot dans l'un des autres mondes, il avait accés au passé, au présent et au futur de ces univers parallèles, du moins c'est ce qu'il pensait, mais de toute façon qu'elle importance ?
Tout le monde s'en moquait, chacun son monde, le sien était glorieux, magique, transcendant..
Ce fut une lutte interminable pour rouler ce joint d'herbe, mais l'allumage et la fumée délicieuse que lui apportait chaque bouffée lui fit oublier son combat.
Il lui fallait un peu de calme avant la grande tempête, de la quiétude avant une nouvelle part de rêve..peut-être même deux..

Au loin des gens criaient, rigolaient, hurlaient, pourquoi ? Il ne savait pas, et il s'en moquait, de nouveau il enchaina une autre crise de rire..
Puis, le silence, un silence assourdissant, anormal, que se passait-il ? Il voyait pourtant toujours les gens dansés et s'extasiés devant les énormes caissons d'enceintes..
Puis comme un controle de volume, le son repris de plus belle, plus fort, plus vivante..

Il s'éloigna un instant, préparant ainsi sur ce qui semblait etre une voiture, du moins c'est ce que lui disait les spirales, sa prochaine ligne..
Il y avait quelqu'un à coté de lui, son visage lui était familier, les vibrations qu'émettaient ce type parraissaient positive, aussi lui offrait-il une trace à lui aussi...
Celui-ci ne déclina pas l'offre..
Le temps parraissait s'être arrété, quel régal ! Il avait le temps du coup, pour faire quoi ? Peu importe, il l'avait !
Aprés avoir obeis de nouveau à la force de l'endroit, qui lui ordonnait de continuer à suivre les mouvement imposé du son,durant un moment interminable, il s'improvisa une couchette dans l'arrière d'une voiture..
Sa descente avait commencée, il n'avait pas la force de reprendre quoi que ce soit, dehors la voiture commencaient à etre entourée de démons et d'esprits qui l'observait, voire l'attendaient..
Mais était-il réveillé ou dormait-il ?
Il lui faudrait deux jours pour y répondre...

http://vigorlemenestrel.free.fr/pwet%20k-special/pwet.k_special.mp3

ça me rappel un peu une piece de theatre, faudrai ke je retrouve le nom, ou cest un mec et un dealer, qui cherchent pendant toute la piece keske ke veux l'un et keska a offrir l'autre..

" les connivences de circonstances ?"