Textes, nouvelles, poemes...

El Banana il en devient electric !!!!

Jeunes vierges médium
Errent dans l’immensité
Enragé, enfiévrée
La mort ne peut rien pour elles

La ville n’a plus lieu d’être
Seul la sorcière y a ses droits
Ne reste qu’un royaume pourrissant
Où de vieux prêtres ne peuvent plus danser
Où les amants oublient l’acte premier
Où un vin sans goût coule à profusion
Dans la bouche de son assourdissante marmaille

La ville s’efface sous la pluie
Le dieu Rat avale notre route
Recueille notre sueur et nos larmes

Auto stoppeur assassin
Icône de Dionysos
Peut être fantassin
Mais jamais fantaisiste

c'est en traversant ces ténèbres, que , à l'abri des regards, une pointe de lumière réussisait à percer ce néant, laissant apparaitre un ange déchu..

bien heureux sera celui qui voudra bien le remarquer, mais prenez garde à ne pas vous laissez avoir par la copie de la puretée..

qui elle même n'existe pas...

Envie d'écrire, de poser mes pensées; trop de sensation, de sentiments se bousculent dans ma tête.

Des textes prochainement....

Ou pas !

Une partie engagée
Le joueur est seul
Relié au jeu
Pièces manichéenne l'attendent
Le doigt hésite, il joue
L'adversaire sourit
Le pacte à été signé
Le couperet tombe
L'âme crie Liberté
Echec et mat !

Allez, Allez les enfants !!!
On se remotivent !

.

C'est pas excellent, mais j'aime bien le thème de cette chanson... Elle est jouée à l'accordéon très "clownesque", et accompagnée d'une basse.
Découvert ce week end en festival. Cliché peut être, mais j'aime bien.

Le Sandwichier glauque de Montmartre

I was wandering in this gloomy street of Paris
My hunger brought me to this lonely guy of Montmartre
I said : « I’m hungry, I would like to taste one of those meals hidden in the weak red light ! »
He said : « oh ! », that was it, his psychotic eyes looking me, suggesting deep afterthoughts...

Bloubloubloubloublou ah ah bloubloubloubloublou ah ah

Dusty fairy lights made me think of a vision of hell
Rotten food, smell of the dead, I felt my body do one step back
Murders, strange disappearances had happened in Orsel Street (oh my god !)
Paralysed I gave my coins and swallow the unlikely sandwich

My taste buds in hallucination
Fear in turmoil, alienation
C’est pas qu’il a pas d’amis, c’est qu’il les a tous mangés !!

I fell asleep on a bench drowning into a reddish nightmare
The deadly carousel
Turning around and around and around and around

I got away from the hill, took the path that led me the furthest
From le Sandwichier Glauque de Montmartre !

~Deadchovsky~

muzo a écrit:

En chemin ,une église ;
Au pas de la porte
Un tag :
« Ni Dieu, Ni Maître ».

L’interdit
Fouillant sa poche
Saisit une craie :
« Et vive la connerie ».

j'adore!

merci

.

"L'étranger en moi

Esprit aguerris, enfermé, flirtant avec l'asphyxie,
Membres embourbés dan le flux continu de petites névroses.
Regards obliques et convexes, prism quasiment anéanti,
Réel atrophié, réalité flouée par une surabondance d'images soufreteuses.
Les 4 murs comme habitacle, comme forteresse,
Echine courbée, yeux timides et fuyants, même quand la fenêtre est ouverte.
Quand la boucle elle s'ouvre, elle le fait pour commettre l'irréparable,
La voix devient matière étrangère, les notes q'uelle joue ne sont plus supportables.

C'est le tout début, les prémisses, le commencement, l'amorce,
L'eau qui remplit le bac, le porche devant l'habitation, la poignée de la porte,
Ce que la majuscule est à la phrase, la concentration à l'effort,
Le frétillement à l'extase, ce qu'est l'agonie à la mort.
Je ne suis pas vraiment nerveux, je trépigne juste,
Mes doigts me démangent, dans le petit appartement où je me cloître, je faits des sauts de puce.
Et si, si malgrès toutes mes précautions je ne produisais que de la merde?
Imaginons qu'après toutes ces démarches, finalement je décidais de me complaire a jouer ce jeu?
Narrer l'invraisemblable, décrire le beau, me vautrer dans l'échange,
Me perdre dans le tourbillon des rencontres enrichissantes,
Me dire qu'en vérité le Monde est douloureux, mais qu'à présent il se venge,
Toi + Moi= La vie, et qu'enfin se taisent les voix qui me hantent.
Voilà, c'est parti, il fallait s'y attendre, j'écris de la merde !!!
Je dois, et vais me ressaisir, je n'ai aucune foi en les gens, en groupe nous sommes trop faibles.
C'st comme cela, je ne fais qu'énoncer les faits.

Hier soir, j'ai commis ma première erreur,
Lorsque le sommeil a fondu sur moi, je n'ai pas su lutter,
Pour mon plus grand malheur.
J'aurai dû me mettre en garde, danser autour de lui, jouer mes esquives,
Normalement mon mouvement de bassin est rapide, fluide,
Ma vista est précise, je suis efficace dans mes contres et mes remises.
Mais cette nuit j'étais raide comme un piquet, alors il n'ya pas eu de surprise.
Mon timing etait mauvais, j'ai pris de vilains coups,
J'ai fini à plat dos sur le sol,
Bouche ouverte, langue oendante, aspiré dans un béant trou.

Alors, les idées n'ont pas pu sortir de ma tête en temps et en heure,
En temps et en H.E.U.R.T.S.
J'ai cru cent fois mourir dans un bruissement sourd, prisonnier d'une paire de tenailles.
Un monstre s'est étendu à mes côtés, il a dévoré mes boyaux et mes entrailles.
Aujourd'hui je me réveille diminué, différent,
Quelqu'un est décédé ka nui passée.
Il y a comme un grand vide à un endroit secret de mon intimité,
Je ne sais quelles seront les conséquences, mais une couleur est manquante sur ma palette.

Je fais le tri, je cherche sans ce que je suis,
Et visiblement il y a un absent à l'appel.
Quelque "chose" a disapru.
Le reste, lui, a survécu."

D' de Kabal

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le trip

.

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REVELATION

Cette nuit j'ai reçu un fax de Jesus qui m'écrit
Qu'il ne serait pas trop fan de ce que j'ai pu faire
Jusqu'ici...
Avant j'y croyais pas vraiment
Mais là j'ai la preuve noir sur blanc
Si je veux pas finir à point
Je ferai bien de me ressaisir et faire le bien
Fini pour moi les sucreries
Je te parles pas de la sodomie
Quand je serai grand grand je serai croyant à mort
Je tuerai ceux qui ne sont pas d'accord
Les religions c'est merveilleux
On peut tuer et ça rend heureux !

~Sindrome~

"exacerbation d'une rancoeur"

c'est l'heure de sortir ce truc,
l'heure de sortir ce qui pése sur mes tripes,
de le vomir dans un dégout imprononçable,
et de le faire en impressionnant..

Riez, si le coeur vous en dit,
Riez car lorsqu'il gisera dans ma paume,
et que je le percerais avec entrain,
l'on verra si celà vous coupe la chique..

A moi, comme à tous ceux qui sont dans la galére,
et qui ne croit plus au destin,
transformer en une fatalité
crachez votre venin, recouvrez si vous le pouvez,
tous leurs symbôles de vendus,

La vois-tu ?
la vois-tu ?
la vois-tu venir dans ta tronche ?
cette lame qui viens et qui va te percer les bronches,
t'étouffant de ton propre sang,

Une envie de prendre un flic au cou,
de mettre un coup,
de donner des coups de boules,
à tous ces préjugés..

Allez tranquilement je regarde cette Cité,
Dormez bien moutons, demain ce sera pareil,
La même odeur, les même personnages,
la même rancoeur...

Tu permets que j'utilise ton texte et que je l'illustre en peinture ?

si ça t'amuses..

ôde aux doudous....


ho doudou doux, mon doudou
tu es doux, mou, et tout canaillou!
tu me sers à tout, et pour moi, c'est un atout.
tu développe mon sens artistique et le goût.


avec tout mes doudous, j'irais partout,
et je saurais tout, comme mon doudou
et entre nous, ce sera un voyage fou!!!
doudou


doudououou!!!!!! lèon's crew

DOUDOU !!!

gloire aux doudoux !