Textes, nouvelles, poemes...

ce soir, 22h30; "La Liberté"

Fabienne...
Fabienne est perdue, Fabienne est paumée...
Fabienne est bourrée, Fabienne est sincère...
Fabienne nous parle d'amour...
Elle devine Fabienne...
Elle devine que nous sommes faits l'un pour l'autre...
Fabienne me répète ses mots trop souvents espérés,
ceux de mon homme dans le creux de son oreille,
"il tiens à toi, il me l'a dit quand t'es partie,
vous serez ensemble, après les inconpréhentions, les horreurs, les disputes,
dans un ou deux ans c'est bon"
J'acquiesse...que faire d'autre...
Fabienne parle encore, elle me dit qu'il m'aime,
Elle pleure, elle trouve ça beau, ça me touche,
ces mots viennent de sa bouche, de son coeur...
que répondre? comment peut-il dire ça à une inconnue alors que j'attend, moi, depuis longtemps...
Elle pleure, elle me dit qu'elle l'a vu au premier instant, dans nos regards, comme d'autres d'ailleurs...
que penser?
Fabienne me dit qu'il faut gueuler, pas se laisser faire, elle sait que je me cherche,
elle me dit encore qu'il faut l'aimer,
que son amour à elle a le sida,
je lui répond qu'il faut qu'elle l'aime et le soutienne de son amour jusqu'au dernier instant, qu'il se retrouveront là haut...
Elle se console Fabienne...
Elle lui dit que les femmes ont besoin d'entendre des mots doux, d'entendre qu'on les aiment,
qu'elles ont besoin d'être prise dans les bras, de sentir la présence de leur homme à leurs cotés...

Fabienne part en se laissant avoir, elle aussi,
Il l'a fait boire le salaud, ça s'est vu!

Troublante rencontre ce soir...puis-je garder espoir?
L'espoir de "la liberté" ?









L'inspiration m'est tombée dessus tout'à l'heure..............................................

Bisous à tous.

waaaah y a de l'inspiration ce soir
franchement je préfére de loin ces derniers textes
ils 'ont plus touché
et zig ça te change vraiment, je connaissait pas ça de toi mais j'm beaucoup.


et auré grave bien aussi
enfin bref que du bon

"Fingerprints" Bénédicte MARTIN (avis aux amateurs, elle à écrit tout un bouquin)


Il y a quelques semaines, nous avons diné ensemble. Tu m'a fait goûter ton plat. Je t'ai léché le bout des doigts. Et là, j'ai vu avec étonnement qu'avec la sauce, j'avais aussi sucé tes empreintes digitales.

Il y a quelques semaines, nous nous sommes serrés dans les bras. J'ai passé ma main dans tes cheveux, et alors tes boucles se sont prises dans mes empreintes digitales comme dans un mauvais peigne. Toutes emmélées, toutes crépées, ébourifées.

Il y a quelques semaines, nous nous sommes embrassés. Nous avons mélés nos mains et elles se sont accrochées. L'une à l'autre avec douceur. Comme un casse-tête chinois. Imbriquées. Agrafées.

Il y a quelques semaines, nous avons dormi ensemble. Je t'ai caressé longuement pendant la nuit, à tel point qu'à notre réveil, mes empreintes digitales étaient imprimées sur ta peau. Ton corp en était tout couvert.

Il y a quelques semaines, nous avons fait l'amour ensemble. La sueur de notre étreinte à dilué nos empreintes digitales. Comme un mauvais tampon encreur, je les ai vus baver sur toi. Elles sont devenues liquides et se sont fluidifiées sur le grain de ta peau.

Il y a quelques semaines, tu m'as prise de dos. Dans l'engouement de notre étreinte, tu m'as mis tes doigts dans la bouche. A ma grande stupeur, quelques minutes après, j'ai remarqué que j'avais croqué tes empreintes digitales. Elles étaient là, en morceaux sur mes lèvres et sur l'oreiller comme un bonbon éclaté.






Le temps d'ecrire et je suis déconnectée........

A pluch'

-Lili la Carotte-

Marrant, le trip mais je n'aime pas le style, un trop lourd à mon gout...Sinon pour ce ki le demandais, ce n'est pas moi sur l'avatar, c ma soeur...

Un autre texte en preparation keskon se fait chier o boulot....

Un des textes qui me...hum
Ressemble le plus. Il est pas tout à fait terminé... Peut etre que je l'arrangerai (il en a besoin), si j'ai le temps.

Ma bouche me gêne.

Ma bouche me gêne. Non mais franchement, avez-vous déjà vu dans le monde du vivant, une telle bizarrerie ?
Un trou qui traverse une masse musculaire ; une entrée et une sortie. Vous constaterez d’ailleurs que la sortie est souvent complètement dénigrée par rapport à l’entrée. Est-ce à cause de la matière qualifiée de fécale qui s’en échappe ? Pourtant cette même sortie n’est que l’autre extrémité de votre tube digestif. Autrement dit, votre Anus est le prolongement de votre bouche. Ne vous rebute-t-il pas moins à présent ? Ou peut être est-ce le contraire, votre bouche ne vous débecte-t-elle pas plus ? Par chance les hémorroïdes buccales n’existent pas, mais qui sait comment l’humain évoluera. Ceci dit ça ne résout en rien mon problème :
Ma bouche me gêne ; et certes elle me permet de parler. Pour la plupart des humains, il serait fort gênant de ne pas pouvoir communiquer normalement. Que deviendraient tous ces adolescents qui passent des heures à déblatérer des stupidités, leur portable fermement retenu de leur main directrice ? Mais en ce qui me concerne, ne plus parler, ne plus émettre le moindre son guttural, ne me gênerait pas le moins du monde.
Certains soutiennent que lorsqu’on a mal quelque part, on prend conscience de cette partie corporelle.
Dans ce cas je n’aspire plus qu’à une chose, bannir toute douleur de ma cavité buccale. Oublier ma bouche qui me torture tant. Se mordiller l’intérieur des lèvres est devenu pour moi un geste que je ne puis plus réprimer, même à l’aide de toute ma volonté. Il suffit que mes pensées s’égarent, et je me surprends en train d’effectuer l’obscène tic.
Ma bouche, vous l’aurez compris, ne m’attire que désespoir et souffrance. A propos, voilà que mes lèvres et ma langue recommencent à subir les sévissent de mes immaculés bourreaux. Impossible de repousser les assauts incessants ; et s’ensuit une profonde irritation aussi bien physique que psychologique.
Et pourtant j’exècre ces personnes qui, suppurant le stress et exposant leurs signes d’anxiété sur leur faciès piteusement troué d’une indécente cavité, rappelent aux moins humains d’entre nous, un sexe féminin.

Trés interressant!! J'aime bien ta manière de t' "exprimer"!

lu pr amaktine, et son texte de la meuf ki se fé eventrer ce texte et plu facile a "accepter" que l'on pourré le croire engendre plus de question sur les pensées et la douleur qui t'on possé a ecrire cela, au moment précis ou tu l'a ecrit... car le propos de l'anecdotique gore (et tout de meme abstrait puisqu' improbable)ne semble pas plus important...juste un pretexte de couleur et d'abscence dede sentation... sa serait un film, il serait muet... dans l'histoire, le personnage féminin est deja "mort" avant d'entrer dans cette piece...je ne te connais pas mais je crois que ce texte ne te ressemble pas, tel que... il exprime tout autre chose... mais quoi???

Mais... Si tu ne me connais pas, comment peux tu avancer que ce texte ne me ressemble pas?

En dehors de cela, oui tu as raison sur un point : il y a effectivement une deuxième lecture à ce texte, qui est en fait une... métaphore?
Je te demanderais stp de ne pas la donner, ici, sur le forum, et si tu la trouves, ni d'y faire d'allusions, car cela ne m'interesse pas de savoir, et je souhaite que chacun y voit l'intention personnelle qu'il souhaite y donner.
Ce n'est pas une devinette non plus.

Ne réponds pas à ce post stp, même brievement, ce n'est pas utile. T'auras peut être l'occasion de le faire, mais sur mon prochain alors!
Respecte moi choix merci. :]

Le dernier... (En attendant la nouvelle... collection (?) , je suis en rupture de stock !)

Si, un jour, vous avez la sale impression d'être observé...VENGEZ VOUS! :
http://img156.imageshack.us/my.php?image=regardod4.png

Génial!!!

celui la je l'aime beaucoup (peut être un peu trop d'idée à la minute)
c'est vraiment le genre d'humour que j'apréci !

Fuite forcée
Pas un grain de sable
Ne vient nous déranger




(nostalgie).............................................................................

Le corbeau et le lapin...

Maître corbeau sur un arbre perché;
Restait à ne rien faire toute la journée.

Un lapin voyant ainsi le corbeau,
L'interpelle et lui demande aussitôt:
"Moi aussi, comme toi, puis-je m'asseoir
Et ne rien faire du matin jusqu'au soir?"

Le corbeau lui répond de sa branche:
"Bien sûr mon ami à la queue blanche,
Je ne vois ce qui pourrait t'en empêcher!"

Blanc lapin s'assoit alors par terre,
Et sous l'arbre, reste à ne rien faire,

Tant et si bien qu'un renard affamé,
Voyant ainsi le lapin somnoler,
S'approchant du rongueur en silence,
D'une bouchée en fait sa pitence.

Moralité: Pour rester assis à ne rien branler,
Il vaut bien mieux être très haut placé.

dis moi tu serais pas dans une phase romantique en ce moment toi

Va savoir.....




Je sais pas trop c'qui m'arrive......



Laissons faire, on verra bien c'que ça donnera au final....

au final?! on ne finit jamais, jamais, jamaiiiis...

trop bien le corbeau et le lapin

bienbienbien et le sujet ma emu, une raison particuliére pour le prénom luce ?
c'est un texte trés personnel que tu nous livre ici ... tu la écris qand ?

Moui... euh désolée (casser n'est pas mon intention, hein :] ) mais j'trouve que "le dénouement" bah... il se dénoue trop facilement justement ! J'arrive pas tellement à expliquer, mais, selon moi, quand dans la vie il t'arrive une merde de ce genre, tu galères beaucoup (ou au moins un peu) plus que ce que tu laisses sous entendre... Enfin perso, moi et un gosse, toute seule, j'me vois plus crouler sous les couches et les Lexomil que reprendre mes études.
Dans ton histoire, le perso s'est "presque" tout de suite remis de ses angoisses. Ptêt que, pour une fin "heureuse" ( ) , ça manque de 2/3 petites lignes de galère! Sinon c'est presque trop facile!
Bon après, ptêt que je suis pessimiste, ou que Luce est une warrior alors. :]
Sinon le sujet est pas mal...

Moi je pense surtt que le sujet est trop personnel pour que l'on puisse en faire une critique normal, que tt se termine bien c vrai peut sembler facile mais des fois la verité dépasse certaines fictions...

Drole que tu dises "parfois la véritée dépasse certaines fictions"...

La vérité ne dépasse t'elle pas toujours la fiction ?



(désolé je suis cartésien...)

Non car sinon les fantasmes serait toujours réalisé.

(J'aime ton cartésianisme)

Woui mais la vérité est....vrai....

Contrairement aux fantasmes....

La vérité dépasse donc la fiction.



non ?

non, car la verité est subjective...
Sinon il te faut parler de réalité.